la porte
les yeux la fenêtre
le coeur coursive fructueuses
ouvrir la peau aux parfums oubliés
reminiscences guillerettes
du passé proche du présent
incertain de l’avenir sans fin
tout se pose de guingois
en travers s’opposent les blocs
roches pavés toiles d’araignées invisibles
slalom vertueux de l’homme
à langue fraiche
à aube douce à bruits
de clavicules agitées
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